En 2022, à l’occasion de la Fête du travail, l’institut YouGov a cherché à savoir combien de Français adoraient leur travail. Ils ont été 52 % à répondre par l’affirmative. Une super nouvelle pour plus de la moitié des sondés !
Mais quid des autres ? Ne pas aimer son travail, qu’est-ce que ça implique ?
Dans cet article, je vais vous lister les signes qui doivent vous interpeller quant à la relation que vous entretenez avec votre job. Je vous donnerai ensuite de bonnes raisons d’abandonner votre métier si celui-ci ne vous épanouit plus. Enfin, je vous dévoilerai mon approche pour celles et ceux qui ne savent plus quoi faire de leur vie.
On se lance ?
Table des matières
De l’importance du bien-être au travail
💆 Combien de temps de notre vie passons-nous au travail ?
À question vertigineuse, réponse vertigineuse : si les experts continuent de s’étriller sur le mode de calcul à employer et, in fine, le résultat, il est plutôt censé de dire que la majorité d’entre nous passe plus d’un tiers de sa vie au charbon.
Posé ainsi, ce constat en appelle un autre : le bien-être professionnel n’est pas un luxe mais une nécessité !
De fait, travailler dans un environnement où l’on se sent valorisé(e) et compris(e) a des retombées directes non seulement sur notre productivité, mais aussi sur notre santé mentale et physique.
Pourquoi ? Parce que l’épanouissement au boulot influence positivement notre estime de soi, notre motivation, et notre niveau d’énergie quotidien. Plein de petits trucs liés entre eux et – vous en conviendrez – plutôt essentiels.
Mais à l’inverse, l’insatisfaction professionnelle peut devenir une source majeure de stress et d’anxiété. Et malheureusement (mais ça, je crois que vous le savez déjà), les effets ne se limitent pas à nos heures de bureau… Ils s’infiltrent dans notre vie personnelle, ils altèrent notre humeur, pèsent sur nos relations, et diminuent notre bien-être général.
Qui n’a jamais ressenti la petite boule au ventre le dimanche soir à la simple idée de reprendre le travail le lendemain ? Ou la sensation persistante de fatigue, non pas due à une intense session de sport, mais plutôt à un malaise intérieur, plus profond ?
Si vous lisez ces lignes, c’est certainement que ces maux ne vous sont pas totalement étrangers…
La reconversion : un changement de boulot… et de vie
Bon. Je suis désolé de commencer cet article avec des mots pas chouettes comme « inconfort », « inadéquation » ou même « souffrance ». Mais rassurez-vous : ça va aller de mieux en mieux, promis.
Premier réflexe pour combattre ces idées noires : il est essentiel de vous rappeler que vous n’êtes pas condamné(e) à rester dans une situation qui ne nous convient plus. Vous vous dites : c’est sur-optimiste, c’est naïf, etc. Mais le fait est que la reconversion professionnelle, autrefois vue comme un signe d'instabilité ou d'incertitude, est aujourd'hui perçue comme une démarche courageuse et VALORISÉE. Franchement, posez la question autour de vous ! À n’importe qui !
Se reconvertir, c’est fournir la preuve d’une écoute de soi, d’une volonté de se réaliser pleinement, et d’une quête de sens, de souhaiter évoluer.
En d’autres termes, c’est choisir de prendre en main sa destinée professionnelle, de refuser la stagnation et de s’ouvrir à de nouvelles opportunités. Pour ceux qui ne peuvent plus saquer leur job, qui se sentent paumés, démotivés, ou même qui étouffent carrément dans leur métier actuel, c’est ni plus ni moins une lumière au bout du tunnel – Un espoir.
Votre travail ne vous convient plus : les signes qui ne trompent pas
😔 Creusons un peu la partie qu’on vient d’effleurer à l’instant : les indices qui vous susurrent à l’oreille combien vous n’aimez plus votre travail… et qu’il faut écouter.
Identifier ces signes, c’est la première étape pour comprendre votre état d'esprit actuel et, ensuite, envisager sereinement les meilleures solutions pour retrouver un équilibre professionnel.
Je vous énumère illico les principaux symptômes que m’ont soumis les personnes que j’ai accompagnées dans leur changement de carrière.
Un manque de motivation… et de passion
Commençons par les bases. L’un des premiers signes que votre emploi actuel ne vous convient plus, c’est le manque flagrant de motivation.
Prenez un tout petit moment, si vous le voulez bien, pour vous souvenir de vos premiers jours de taf. Ceux où vous étiez enthousiaste à l’idée de vous lancer dans de nouveaux projets, d’apporter votre contribution à la boîte.
Vous vous sentez nostalgique ? Ce doux sentiment des débuts s’est érodé ? Vous vous levez chaque matin avec une sensation d’appréhension plutôt que d’anticipation ? Voilà un sérieux signe avant-coureur à ne pas négliger…
Du stress et de l’anxiété chroniques
Un stress ponctuel, ça arrive à tout le monde. Pour en faire l’expérience, nul besoin de détester son métier : même le plus passionné des professionnels peut, à tout moment de sa semaine, mal réagir à des pressions ou des contraintes de son environnement.
Mais que dire du même stress lorsqu’il est constant ? Qu’il se mue bien malgré vous en anxiété ?
Le problème, c’est que de telles sensations se cantonnent rarement aux strictes frontières du boulot. Ainsi, si vous trouvez régulièrement difficile de vous détendre après le travail, si vous perdez le sommeil à cause de vos préoccupations professionnelles ou autres désagréments du même ressort, c’est peut-être le signe que votre travail ne vous convient plus.
Cerise sur le gâteau : l’anxiété chronique n’est pas seulement émotionnellement épuisante mais peut aussi avoir des conséquences graves sur votre santé physique. On va en recauser un peu plus loin.
Le sentiment de ne pas être à votre place
L’un des autres signes que j’ai notés, c’est celui proche du concept d’imposture.
Dans la pratique, vous avez peut-être la sensation de jouer un rôle qui ne vous correspond pas, ou de ne pas être utilisé(e) à votre juste valeur. Peut-être est-ce que vous ressentez que vos compétences et vos talents ne sont pas pleinement exploités. Peut-être que vous avez l’impression que vous pourriez accomplir tellement plus dans un autre environnement ou poste.
Ce sentiment d’inadéquation doit vous interpeller, en ce qu’il constitue un indicateur clair que vous pourriez être mieux ailleurs ! Par exemple, dans un emploi où vous pourriez véritablement briller et vous épanouir…
Un désalignement avec les valeurs de votre employeur
Parmi la dizaine de définitions que le Larousse donne du nom « valeur », c’est celle-ci qui m’intéresse : « ce qui est posé comme vrai, beau, bien, d'un point de vue personnel ou selon les critères d'une société et qui est donné comme un idéal à atteindre, comme quelque chose à défendre ».
Maintenant, qu’est-ce qui se passe lorsque vos valeurs personnelles et les valeurs de l’entreprise (ou du secteur) ne sont plus en adéquation ? Que vous vous retrouvez régulièrement en désaccord avec la culture d'entreprise, les décisions prises ou la direction générale ?
La réponse tient en deux mots : malaise persistant !
Travailler dans un environnement qui va à l'encontre de vos croyances ou principes fondamentaux, c’est peut-être OK pour un temps… mais ça peut être source d’une véritable tension et insatisfaction.
Un besoin d’évolution… voire de changement radical
C’est la pointe de la pyramide de Maslow, ce schéma listant les besoins fondamentaux de l’Homme : l’être humain a un besoin intrinsèque de s’accomplir.
Si vous ressentez que vous stagnez, que vous n’apprenez plus rien de nouveau, ou que les jours se ressemblent lamentablement sans offrir de véritables challenges ou opportunités d’évolution, c’est un signe irréfutable que vous aspirez à plus.
Ce besoin de changement, auquel vous devez prêter oreille, peut se manifester par une envie d'acquérir de nouvelles compétences, de relever de nouveaux défis… ou simplement de changer d'horizon.
Pourquoi vous devez abandonner votre métier s’il n’est pas épanouissant
🚪 Identifier les signes qui font que votre métier vous sort par les yeux, c’est une chose. Réagir, c’en est une autre !
Or, toutes les personnes touchées par ces signaux n’ont pas forcément la volonté de se reconvertir.
Qui suis-je pour les juger ? Je l’admets volontiers : le confort matériel procuré par un travail stable couplé à une routine bien huilée constituent évidemment des arguments hyper puissants pour ne pas changer !
Mon boulot à moi, c’est de vous aider à une prise de conscience de ces impacts négatifs avant que tout cela s’empire. Je souhaite que vous preniez le temps de réfléchir à ces conséquences, bien réelles, et à la meilleure façon de protéger votre bien-être global, tant professionnel que personnel.
Voici trois illustrations funestes vécues par des personnes que j’ai accompagnées.
Des conséquences réelles sur votre santé mentale et physique
« Ça va, tu travailles pas à l’usine non plus ». « Oh c’est bon, tu passes ta journée pénard devant un ordinateur ». À en croire pas mal de monde, travailler sept jours sur sept à la mine serait la condition sine qua non pour pouvoir légitimement se plaindre de son boulot…
Mais la vérité, c’est que l’impact d’un travail non épanouissant – qu’il soit exercé dans le primaire, le secondaire ou le tertiaire – sur la santé mentale est souvent sous-estimé.
Passer ses journées dans un environnement stressant, où l'on ne se sent pas valorisé(e) ou compris(e), peut mener à des troubles tels que l’anxiété, le burn-out ou la dépression. Des affections mentales réelles qui peuvent, à leur tour, avoir de sales conséquences physiques : on parle de fatigue chronique, de troubles du sommeil, de maux de tête, de douleurs musculaires ou digestives…
Franchement, je ne vous fais pas tout l’inventaire parce que ce serait long et un peu trop déprimant.
Pour ne pas épiloguer sur ce point, retenez simplement que l’hypertension et les maladies cardiovasculaires, ça n’arrive pas qu’aux autres. Et qu’un taf qui vous déplait ne vous permet pas de mettre toutes les chances de votre côté…
Un impact sur vos relations professionnelles comme personnelles
Maintenant,... parlons de vos proches !
Un travail non épanouissant n’affecte pas uniquement la personne qui l’exerce ; il peut également avoir des répercussions sur son entourage. Comme je l’ai rappelé un peu plus haut, ne croyez pas que vous arriverez longtemps à garder irritabilité et manque d'énergie hors de votre foyer.
Toutes les agressions que vous subissez consciemment ou inconsciemment du fait de votre emploi peuvent mettre à rude épreuve vos relations familiales et amicales. Vos proches peuvent se sentir désemparés.
Après tout, comprenez-les : ils ne font sans doute pas le même métier que vous et doivent sûrement peiner à comprendre la source de votre mal-être.
Ça, c’est pour la maison. Et au travail, ce sentiment d'insatisfaction peut mener aussi à des tensions avec les collègues ou les supérieurs. Si vous continuez à cultiver ad nauseam la haine de votre job, vous risquez fort de devenir moins coopératif, moins communicatif, développer une attitude négative ou défaitiste et, conséquemment, nuire à la dynamique de l'équipe.
Ce n’est sans doute pas ce que vous leur souhaitez ni ce que vous vous souhaitez ?
La limitation de votre croissance
Je l’ai évoqué un peu plus tôt, mais rester dans un job qui vous pèse, c'est se priver d'opportunités de développement.
C’est se tirer une balle dans le pied dans toute sa vilaine définition. D'une part, vous avez un manque de motivation et de passion qui va limiter votre volonté d'apprendre de nouvelles compétences ou de vous investir dans des projets professionnels.
D'autre part, vous avez un sentiment d'inconfort permanent qui peut engendrer un manque de confiance en vous et qui va rendre plus difficile la prise d'initiatives ou la recherche de nouvelles opportunités.
Ce sombre tableau, qui ne concerne que la partie pro, s’applique aussi à la partie perso. Un travail insatisfaisant peut également entraver votre croissance personnelle.
Je vais l’écrire plus simplement. Si vous vous concentrez uniquement sur les aspects négatifs de votre situation professionnelle, vous risquez fort de négliger d'autres domaines de votre vie : la poursuite d'hobbies, le développement de nouvelles passion, ou même la simple quête de bien-être et d'équilibre.
Passer à côté de votre vie uniquement à cause d’un job que vous n’aimez pas ? D’expérience, ce n’est absolument pas une fatalité. Et c’est mon travail à moi que de vous aider à vous en rendre compte.
Les bonnes questions à se poser avant de changer de job
🤔 Évidemment, je ne suis pas un fou furieux de la reconversion pro qui va conseiller à quiconque rencontre le moindre problème avec son job d’en changer du tout au tout. Loin s’en faut : ma mission est aussi de vous amener au bien-fondé de votre projet et à véritablement questionner cette envie de changement.
En vous posant les quelques questions qui suivent – et en y répondant le plus sincèrement possible –, vous poserez les bases solides pour envisager un futur professionnel en adéquation avec vos aspirations profondes.
Est-ce un problème temporaire ou un malaise profond ?
Avant de prendre des décisions radicales concernant votre avenir professionnel, il est crucial de distinguer insatisfaction temporaire et véritable malaise profond.
Vous le savez aussi bien que moi : tous les emplois connaissent des hauts et des bas, des périodes de stress ou des défis passagers.
Se poser cette question permet de déterminer si votre sentiment d’insatisfaction est le résultat d'une phase particulière ou, au contraire, s'il est le reflet d'un inconfort plus profond et durable. Une réponse honnête à cette interrogation peut vous éviter des regrets ultérieurs.
Mon questionnement est-il lié à la culture de l’entreprise, au poste en lui-même, ou à ma carrière tout entière ?
Identifier la source exacte de votre malaise est essentiel pour envisager les meilleures solutions. Si votre insatisfaction provient principalement de la culture de votre entreprise (par exemple, des relations tendues avec la hiérarchie ou des valeurs en désaccord avec les vôtres), un simple changement d'entreprise pourrait faire l’affaire. Et ce, même si vous avez passé 20 ans dans la même boite – il n’est jamais trop tard !
Et si c’est le poste en lui-même qui pose problème, pourquoi ne pas envisager une simple reconversion interne ? Pas besoin de bousculer toute votre existence si les choses peuvent se régler sans turbulences.
En revanche, si c'est votre carrière elle-même qui ne vous convient pas, alors il est judicieux de considérer une reconversion plus profonde.
Quelles sont mes passions et mes compétences et comment les utiliser ?
Se reconnecter à ses passions et compétences est capital pour envisager un avenir professionnel épanouissant.
Prenez le temps de lister ce que vous aimez vraiment faire, les compétences que vous possédez, et celles que vous aimeriez développer. Réfléchissez également à la manière dont vous souhaiteriez les mettre en œuvre dans un contexte professionnel.
Ce cheminement, pour lequel je peux vous accompagner pas à pas, pourrait bien vous orienter vers des métiers ou des secteurs d'activité que vous n'aviez pas envisagés auparavant !
Qu’est-ce que j’attends vraiment de mon travail ?
Dernière question, et pas des moindres : outre la rémunération, quels sont les éléments qui comptent vraiment pour vous dans un travail ? Est-ce l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle ? La reconnaissance de vos pairs et proches ? La possibilité d’exercer un impact positif sur la société ? L'autonomie, quelle qu’en soit la définition que vous lui donnez ?
En identifiant vos priorités, vous pourrez mieux cibler les opportunités professionnelles qui correspondent à vos attentes et à vos valeurs. Et vous rendre compte que le meilleur reste à venir !
Trouver un métier qui me correspond grâce à l’ikigai
🛣️ Dans le champ d’expertise que j’ai développé au cours de mes années de psychopédagogue, la reconversion professionnelle ne se résume pas à quitter un métier qu’on n’aime pas ou qu’on n’aime plus au profit d’un autre. Il s’agit pour vous de poursuivre un job qui résonne avec vos passions profondes et vos valeurs fondamentales.
Dans cette seconde moitié, je vais vous présenter l’ikigai, dont l’enjeu est de mettre en évidence ce que vous allez adorer faire et ce qui est en accord avec vos principes, pour vous aider à trouver une carrière qui relève moins du travail que de la vocation !
Ce qu’est l’ikigai… et ce qu’il n’est pas
L’ikigai est un concept holistique, c’est-à-dire qu’il s'intéresse au sujet dans sa globalité. Connu au Japon depuis des siècles, l'ikigai vous permet de trouver votre véritable essence… ou raison de vivre.
Sur internet, il est très souvent représenté par un schéma constitué de quatre cercles croisés :
1. ce que vous aimez : qu'est-ce qui vous motive et vous donne envie de bouger ?
2. ce que vous savez faire : quelles sont vos forces et vos expériences professionnelles ?
3. ce pour quoi vous pouvez être payé(e) : quelles sont, de manière réaliste, les possibilités de carrière qui pourraient vous offrir un revenu stable ?
4. ce dont le monde a besoin : quels sont les problèmes que vous aimeriez résoudre ?
En trouvant l'intersection de ces quatre domaines, vous seriez en mesure d’identifier votre ikigai et, ainsi, être automatiquement guidé(e) vers une carrière satisfaisante et épanouissante…
Je préfère vous le dire tout de suite : si ce schéma a eu le mérite de populariser le concept d’ikigai, il n’en demeure pas moins outrageusement simpliste et surtout plagié! (sur un modèle qui n'a rien à voir avec l'ikigai...)
Car tout au long de ma carrière de formateur et de chercheur à l'université, j'ai compris un truc essentiel dans ma propre pratique de l’ikigai : il est bien un concept psychologique mais il est aussi une philosophie de vie qu'il faut pouvoir comprendre au travers de la culture japonaise. L'un ne va pas sans l'autre.
Et autant vous dire que ces 7 années passées à la fac de psycho m'ont pas mal aidé à comprendre toutes les finesses de ce concept si unique.
Parce que l’ikigai comprend plusieurs dimensions psychologiques qui synthétisent parfaitement les différents besoins humains pour vous permettre d'identifier puis d'harmoniser ce qui est porteur de joie et de sens dans votre vie... et d'en faire éventuellement une activité professionnelle.
Comment trouver son ikigai ?
Trouver son ikigai, ou plutôt ressentir son ikigai, ça commence par adopter le bon état d’esprit (psychologie toujours) pour trouver sa voie.
C'est-à-dire ? Oser chercher son ikigai même si on ne sait pas où on va, dépasser ses croyances limitantes (j'en avais moi aussi, je vous rassure) et cheminer avec confiance vers la découverte de votre ikigai.
Un point de départ ? Vous pouvez commencer par identifier vos « passions ». C’est-à-dire ce qui vous fait réellement vibrer, qui suscite votre enthousiasme et votre créativité. Attention : vous devez distinguer vos intérêts profonds des simples hobbies… Un petit numéro d’équilibriste !
Au-delà de vos « passions », vous pouvez ensuite chercher à mettre le doigt sur vos talents naturels (et pas uniquement des compétences que vous aurez couchées à la va-vite sur votre CV pour impressionner un recruteur).
Avec un objectif final en ligne de mire : mettre en valeur dans le bon contexte ces talents uniques que vous possédez pour qu’ils vous permettent d'exprimer enfin votre potentiel !
Et un autre gros morceau : comment identifier ses valeurs personnelles ? Parce que c'est en connaissant précisément vos valeurs et la manière dont vous les exprimez que vous pourrez redonner un sens profond à votre vie et être aligné avec votre nouveau job.
Démarrer votre reconversion professionnelle
🙂 Décidé(e) à sauter le pas, quel que soit votre âge ? Vous l’avez compris : mon métier est d’aider les professionnel(le)s de France et de Belgique à trouver leur voie grâce à l’ikigai. Voici comment.
Une formation pour les professionnel(le)s qui veulent changer à tout âge
Contrairement à l’écrasante majorité des « conseillers » et autres « coachs » qui pullulent sur le web, je n’oublie pas le plus fondamental des éléments : je vous aide à inscrire votre projet professionnel dans un projet de vie global, qui prend en compte toutes les facettes de votre personnalité.
Comment je m’y prends ?
J’ai mis au point une formation appelée Bilan de compétences Ikigai.
À l’issue de cette formation, intégralement finançable par votre Compte personnel de formation (CPF) si vous exercez dans le marché du travail français :
vous saurez ce qui vous fait vibrer et vous donne de l'énergie pour déplacer des montagnes
vous serez sûr(e) de vous et de vos choix de vie, comme jamais auparavant
vous mettrez le doigt sur de nouvelles opportunités pour augmenter vos revenus rapidement
vous vous sentirez à votre place grâce à un métier qui a du sens et dans lequel vous êtes acteur(rice) de votre vie
Un accompagnement sur-mesure car tout le monde est différent
À travers cette formation, c’est un accompagnement individualisé que je vous propose. Et au préalable, je vous délivre des informations personnalisées gratuitement et sans aucun engagement de votre part.
Tous les détails de la formation pour trouver votre voie
Accompagnement personnel et suivi inclus
Cet article en résumé :

Je n’aime pas mon travail : études de cas
🤓 Ma mission de psychopédagogue-formateur m’a amené à croiser de nombreux profils issus de métiers divers. Ils m’ont inspiré plusieurs articles, dont voici quelques exemples dans lesquels vous vous retrouverez peut-être :